En ce moment on n'entend parler que de ça dans les milieux scolaires... et peu de parents sont dans une recherche naturelle : on panique vite pour "nos petits", et c'est bien compréhensible. Or,
- Quand le nez coule, il vaut mieux parfois laisser couler et garder l'enfant au chaud et à la diète...
- Quand la gorge fait mal, il y a de bonnes tisanes et des sirops naturels,
- Quand la fièvre monte à 39°, bien-sûr il y a besoin d'un diagnostic médical, mais pas forcément d'antibiotique...
Dommage de ne pas avoir pensé à faire un peu de préventif... l'année prochaine voyez votre Naturopathe : Il / Elle vous dira que prévoir de naturel pour aider votre enfant à être dans les meilleures conditions pour que ces ennuis lui glissent dessus, ou pour l'aider, si besoin.
Ce qu'en dit Michel Dogna (Heilpraktiker connu pour ses discours sans détours...) ;
"Du temps de nos grands-mères, on mettait simplement les enfants au chaud avec des bouillons de légumes et quelques tisanes classiques, on contrôlait la fièvre (à partir de 40°) avec des serviettes humides fraîches, et on n’appelait même pas le docteur.
Maintenant, on appelle tout de suite un médecin qui fait tomber la fièvre et prescrit des antibiotiques (contre des maladies virales !). C’est le protocole de la faculté. L’enfant est littéralement saccagé dans ses métabolismes de défense. Il se remet difficilement. Et l’on dit : « Qu’est-ce que cela aurait été si l’on n’avait rien fait !».
Il y a vingt ans, je notais déjà que, selon des statistiques établies en Angleterre, 35 % des maladies infantiles traitées par les antibiotiques n’étaient pas suivies d’une immunisation naturelle. Normal, puisque l’on a entravé le processus naturel.
Le résultat est donc que tous ces jeunes risquent de contracter à nouveau l’une de ces maladies entre 20 et 30 ans, avec, cette fois, un risque lourd. Et c’est en invoquant cela que la médecine se sert de cet argument pour asséner un terrorisme psychologique sur les parents et les faire obtempérer pour faire vacciner leurs enfants en bas âge avec le fameux ROR (rougeole-oreillons-rubéole).
Une médecine digne de ce nom devrait savoir que les maladies infantiles sont des étapes de mise en place des défenses immunitaires d’organismes en cours de développement. De plus, elles participent à la structuration psychique de l’enfant (aussi étonnant que cela puisse paraître).
Donc empêcher ces maladies d'apparaître est une grave entrave au développement juvénile et une fragilisation du futur potentiel vital des jeunes!!!;
Le traitement commun à toutes ces maladies infantiles
- Quand le nez coule, il vaut mieux parfois laisser couler et garder l'enfant au chaud et à la diète...
- Quand la gorge fait mal, il y a de bonnes tisanes et des sirops naturels,
- Quand la fièvre monte à 39°, bien-sûr il y a besoin d'un diagnostic médical, mais pas forcément d'antibiotique...
Dommage de ne pas avoir pensé à faire un peu de préventif... l'année prochaine voyez votre Naturopathe : Il / Elle vous dira que prévoir de naturel pour aider votre enfant à être dans les meilleures conditions pour que ces ennuis lui glissent dessus, ou pour l'aider, si besoin.
Ce qu'en dit Michel Dogna (Heilpraktiker connu pour ses discours sans détours...) ;
"Du temps de nos grands-mères, on mettait simplement les enfants au chaud avec des bouillons de légumes et quelques tisanes classiques, on contrôlait la fièvre (à partir de 40°) avec des serviettes humides fraîches, et on n’appelait même pas le docteur.
Maintenant, on appelle tout de suite un médecin qui fait tomber la fièvre et prescrit des antibiotiques (contre des maladies virales !). C’est le protocole de la faculté. L’enfant est littéralement saccagé dans ses métabolismes de défense. Il se remet difficilement. Et l’on dit : « Qu’est-ce que cela aurait été si l’on n’avait rien fait !».
Il y a vingt ans, je notais déjà que, selon des statistiques établies en Angleterre, 35 % des maladies infantiles traitées par les antibiotiques n’étaient pas suivies d’une immunisation naturelle. Normal, puisque l’on a entravé le processus naturel.
Le résultat est donc que tous ces jeunes risquent de contracter à nouveau l’une de ces maladies entre 20 et 30 ans, avec, cette fois, un risque lourd. Et c’est en invoquant cela que la médecine se sert de cet argument pour asséner un terrorisme psychologique sur les parents et les faire obtempérer pour faire vacciner leurs enfants en bas âge avec le fameux ROR (rougeole-oreillons-rubéole).
Une médecine digne de ce nom devrait savoir que les maladies infantiles sont des étapes de mise en place des défenses immunitaires d’organismes en cours de développement. De plus, elles participent à la structuration psychique de l’enfant (aussi étonnant que cela puisse paraître).
Donc empêcher ces maladies d'apparaître est une grave entrave au développement juvénile et une fragilisation du futur potentiel vital des jeunes!!!;
Le traitement commun à toutes ces maladies infantiles
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